INFIRMIERES ET GUERRE D'ALGERIE

La conquête de la population restait le véritable enjeu d'une course pleine de handicaps et de chausse-trapes. Un combat sans merci se livrait poussant le F.L.N. à incendier les écoles françaises et les militaires à interroger durement une population aidée par le F.L.N. La guerre révolutionnaire l'exigeait ainsi. L'ennemi mutuel était celui qui « faisait du bien » : le chef de S.A.S. humain, révolté par les conditions de vie des musulmans, et les doctoresses comme Nefissa Hamoud. Celle-ci en était réduite à donner des consultations par personne interposée. Un infirmier A.L.N. n'attirait pas l'attention de la population tandis qu'une doctoresse ne passait pas inaperçue. On la remarquait. On l'entourait. On allait en parler et les militaires de la S.A.S. le sauraient le lendemain et la prendraient en chasse. Elle devait consulter à la sauvette. Pendant que l'infirmier soignait les. adultes, elle prenait un gosse dans ses bras et faisait semblant de le bercer. Discrètement elle tâtait la fontanelle, le ventre, écartait les paupières et glissait en douce à l'infirmier : Dis aux parents de faire ceci ou cela. A l'automne de 1957 la répression se durcit. Des zones furent vidées et interdites. Des populations entières déplacées et parquées dans des camps de regroupement. Celles qui restaient dans leurs villages étaient sans cesse contrôlées. Elles devaient coopérer.

jeudi 24 mars 2011

instalation et aides aux repas


 instalation et aides aux repas 

 

 

Objectifs :
Aider le patient à s’alimenter, voire le stimuler, afin d’obtenir un prompt rétablissement
Indication :
Personnes âgées
Paralysé
Personne avec membres immobilisés
Altération de l’état général
Attention ! avant le repas, s’assurer que le patient ne doit pas rester a jeun
 Actions
A)    installation :
1)      se laver les mains
2)      proposer le basin
3)      faire laver les mains du patient
4)      installer la personne confortablement dans un fauteuil de préférence, sinon au lit en relevant la t^te du lit, et si besoin en calant avec des oreillers
5)      rapprocher le verre et la carafe d’eau, remplir le verre si besoin
6)      donner la serviette de table au patient si besoin.
B)     Distribution du repas
-         se laver les mains
-         mettre une blouse propre
-         contrôler le plateau du patient (si régime est respecté, si le plateau et complet )
-         vérifier qu’aucun ingrédient ne sot reversé sur le plateau
-         soigner la présentation
-         ouvrir les sachets, les barquettes, les pots
-         couper la viande voire faire les tartines
-         éplucher les fruits couper le pain
-         respecter les habitudes alimentaire ou les interdits liés à la culture ( sans jugement)
-         mettre la sonnette à côte du patient
C)    aide aux repas
-         Se laver les mains apprécier l’autonomie du patient
-         Montres beaucoup de patient et ne pas évoquer de signes d’énervement
-         Respecter le rythme du patient
-         Proposer à boire dans certain cas, boire au verre et impossible : imaginer une solution adaptée ay patient canard, pipette, paille, ect ). Chez  les patient faisant régulièrement des fausses route, propose de l’eau gélifiée ou faire une petite cuillère par petites quantité
-         Ne pas mélanger l’alimentation ( sucré ou salé) respecter l’ordre des repas( ne pas commencer par e dessert alors que l’entrée ou la viande ne sont pas encore mangés.
-         Ne pas brusquer le patient
-         Laisser le patient déglutir tranquillement sa première cuillère avant de donner la deuxième.
-         Faire des pauses.
-         Ne pas prendre le patient adulte pour un bébé( ex. faire le pti avion pour lui faire ouvrir sa bouche !)
-         Encourager la personne à manger mais ne pas l’obliger à avaler contres sons gré une alimentation qui ne lui plait pas.
-         S’il refuse de manger essayer de comprendre les raisons de son refus.
-         A la fin du repas proposer un brossage des dents ou un rinçage des prothèses dentaire.
-         Réinstaller le patient confortablement en ayant à proximité son verre et la sonnette
-         Retire le plateau en ne laissant aucune alimentation dans la chambre, nettoyer la table

Transmissions

Transmissions orales à l’infirmier et écrites sur le dossier de soins
  • Comportement
  • Dysphagie
  • Dyspepsie
  •  Fausse routes
  • Nausées
  • Vomissements
  • Dégoûts
  • Noter les quantité absorber aussi bien liquide que solides

Isolement du patient

Isolement du patient
 

 

OBJECTIFS

Protéger le patient des germes ou virus environnants (cf. encadre).
Eviter qu’un patient contagieux.
Patient très affaibli (déficit immunitaire. brûlures).
Patient a risque (prothèse de hanche etc.).
 

Mesures d’isolement

Il peut exister des variantes selon le clin (Comite De Lutte Contre Les Infections Nosocomiales).
1 chambre individuelle.
Masque sur blouse sur chaussures. Bonnets lunettes. Gants sont utilisés des l’entrée dans la chambre. Le matériel de protection est laisse dans la chambre prés de la porte ou dans le sas.
L’aide soignant (e) rappelle les règles d’hygiène aux visiteurs.
L’aide soignant (e) veille à l’approvisionnement de la chambre en matériel à  usage unique. Et au besoins de ka vie quotidienne : savon, essuie-main papier, papier hygiénique… et surtout les sacs poubelles divers :
     Le linge est évacue de la chambre sous double emballage avec mention spéciale “à décontaminer“.
     La vaisselle reste dans la chambre .elle est nettoyée et désinfectée sur place. à l’eau de javel. Elle sera décontamine et envoyée  propre sous double emballage au service de stérilisation centrale en fin de séjour
    Les déchets. Sont évacués de la chambre sous double emballage avec la mention spéciale “à incinérer“.
    Les liquides sont décontaminés et jetés dans les WC.
    Le matériel d’entretien de la chambre est  à usage unique.
     Blais et seaux restent dans la chambre et seront décontaminés en fin de séjour.
 

Relationnel

C’est une situation difficile pour le patient. Il faut écouter ses angoisses, ses difficultés, lui expliquer les raisons des mesures  de prévention tout en respectant le secret professionnel.
Informer et éduquer les visiteurs.
 

IMPORTANT

     Ne pas rentrer les dossiers médicaux, feuilles de température dans la chambre.
     Si la sur blouse est en tissu, la laisser dans la chambre, accrochée de la façon suivante :
Chez un patient contagieux : envers contres envers pour que le personnel ne soit pas contaminé (figure A).
Chez un patient immunodéprimé : endroit contre endroit pour ne pas que le personnel contamine le patient (figure b).
La durée d’efficacité du masque est au maximum 3heures.
Limiter le nombre de visiteurs.
Organiser  et regrouper les soins.
 

Entretien de la chambre

Entretien de la chambre

 

OBJECTIFS

Assurer l’hygiène de la chambre et du matériel.
Lutter contre les infections nosocomiales.

 

INDICATION

Tous les jours .voir 2 à 3 fois  par jour.

 

MATERIEL

  •  Le chariot de manage reste dehors.
  • 1 détergent et un désinfectant.
  • 1 flacon d’alcool dénaturé pour les chromes.
  • 2 chiffonettes (1par produits).
  • 1 produit pour les wc.
  • 1surblouse.
  • Gants de ménage a usage unique.
 

ACTIONS 

Il peut exister des variantes selon le CLIN (Comite De Lutte Contre Les Infections Nosocomiales).
Se laver les mains.
Mettre les gants.
Aérer la chambre (recouvrir le patient s’il est dans la chambre).
Nettoyer le lit (montant et cadre) et les accessoires (barrières).
Nettoyer les appliques lumineuses. La sonnette  continuer  par la table de nuit. Les siéges l’adaptable.
Renouveler l’eau des fleurs (couper les queues si besoin).
Vider la corbeille à papiers.
Nettoyer le bassin. L’urinal et le bocal (si pas de lave bassin dans le service).
Terminer le sol :
      Balayage humide (fiche n°10).
      Lignette.
Après séchage, si des traces apparaissent sur les chromes. Les effacer avec l’alcool dénaturé.
Retirer les gants à usage unique. Les jeter.
Se laver les mains.
En cas d’utilisation de l’ascenseur pour le transport des couches sales. Des poubelles et linge sales, vaporiser un assainisseur d’atmosphère pendant 3 secondes  vers le haut et vers les angles de l’ascenseur. Lorsque l’aérosol est vide , le ramener a la pharmacie pour le remplacer.
 

IMPORTANT

Commencer par les endroits les plus hauts.
Aller du plus propres vers le plus sales.
Respecter le mode d’emploie des produits utilisés.
Vérifier les dates de péremption.
Laisser sécher naturellement.

Techniques de bio- nettoyage

Techniques de bio- nettoyage en milieu de soins

 



Lutter contre les infections nosocomiales. 
Respecter le confort et le bien- être du patient.

 

OBJECTIFS

Préserver les bonnes conditions d’environnement.
 
Balayage humides (tous les jours)
Il peut exister des variantes  selon le CLIN (Comite  De Lutte Contre Les Nosocomiales).

a)     matériel :

1 chariots de ménage.
1 balai trapèze articulé
1 gaz  spécial (usage unique) légèrement parfumé.
 

b)    technique :

Se laver les mains.
Fixer une feuille dans les alvéoles du balai trapèze.
Une main soutien le manche. Alors que l’autre main dirige le balai.
Pousser le balai devant soi sans le lever du sol.
Le poignet effectue une légère rotation afin que le trapèze décrive le larges “S“(figure A)
Les poussières se sont agglutinées sur la feuille.
S’aider d’une pelle si besoin.
Faire une boulle de tissu utilisé et la mettre dans  le récipient prévu a cet effet.

c)     Entretien :

      Essuyer  le manche du balai avec une solution désinfectante.
      Tromper la semelle  du balai dans une solution désinfectante une fois par semaine.
      Laver, rincer et désinfecter la totalité du balai et de la semelle.
 
Le lavage des soles
a)      Matériel :
1 chariot de ménage.
1 lingette.
1 balai “ faubert“ (balai a franges) ou balai trapèze articule  et une gaz spécial (toile non utilisée).
2 seaux de couleurs différentes (c1.c2).
 
b)     Technique :
Se laver les mains.
Mettre dans les deux seaux, eau et produit désinfectant.
Tremper la serpillière dans le seau C1.essorer.
Laver le sol.
Rincer la serpillière dans les seaux C2 essorer.
Tremper la serpillière dans les seaux C1…
Les eaux des 2  seaux sont changées entre chaque chambre.
L’eau des cuvettes recevant  les serpillières n’est pas changée systématiquement car le matériel n’a pas été souillé lors du passage d’une chambre à l’autre.
  Le haricot de ménage
Le haricot de ménage n’entre a aucun moment dans la chambre du patient. il reste dans le couloire.
Prendre la quantité de chiffons et de serpillières nécessaire pour faire toutes les chambres (4 chiffons et 1 sérpillére /chambre).Les mettre  dans un seau “ propre“ contenant un désinfectant.
Il peut exister des variantes selon le CLIN (Comite De Lutte Contre Les Infectassions Nosocomiales).

Evacuation des déchets

Evacuation des déchets 

  

OBJECTIF

 

Principe

Tri des différents types de déchets à partir  du lieu d’utilisation.
Chaque hôpital à sa propre  méthode mais le principe est toujours le même.
La collecte  s’effectue dans des sacs poubelles de couleur différente (noir, rouge, blanc) afin de différencier les déchets contamines non tranchant (papiers, compresses, souillées). Les déchets non souillée (emballage papiers. Etc.…).et les déchets biologiques ou tranchants (aiguilles, lames, tubes contenant du sang).
Les objets piquants et tranchants sont systématiquement jetés dans un conteneur spécial.
 

Surveillance 

L’aide soignant(e) doit veiller à ce que la méthode utilisée dans le service soit respectée.
Il (elle) doit signaler touts anomalie à l’infirmier (ère) ou a la surveillante.
Il (elle) doit surveiller le stock de sacs poubelles. Et tenir la surveillante au courant de l’état des stocks.
Il peut exister des variantes selon le CLIN (Comite De Lutte Contre Infections Nosocomiales.).
 

IMPORTANT

  • Respecter ces méthodes en tous points.
  • Ne jamais tenter de recapuchonner une aiguille utilisée. La jeter dans le conteneur prévu cet effet.
  • Les liquides doivent être décontaminées avant d’être vidées.
  • Utiliser les produits spécifiques à la décontamination. Respecter le temps de trempage et vérifier la date de péremption du produit.

Toilette génito-anale

Toilette génito-anale
 
OBJECTIFS
Assurer l’hygiène de la peau.
Assurer le confort et le bien-être des personnes inconscientes.
 

INDICATIONS

Sujets inconscients (comateux. Personnes âgées…).
 

MATERIEL 


(il est préférable d’utiliser pour ce soin le matériel du service).

 
Sur chariot décontaminé et désinfecte :
  1 cuvette.
  1 serviette + 1 gant.
  1 savon.
  1 change.
  1 sac poubelle.
  Cellulose, gants non stériles, utilisés pour un seul malade.
  Savon liquide et essuie-main à usage unique.
  

ACTIONS

 Allumer “la présence“ fermer la fenêtre.
Demander au patient s’il a besoin de rien (bassin. etc..).
Se laver les mains.
Mettre les gants.
Remplir la cuvette d’eau chaude.
Faire tester la température de l’eau ou l’apprécier soi- même avec le coude.

b)      chez l’homme :
Décalotter, laver le grand, recalotter.
Laver la verge, les bourses.
Rincer, sécher.
c)      Au niveau du siége :
Si selles, enlever “le plus gros“ avec la protection.
Terminer avec la cellulose.
Laver avec le gant imprégné de savon.
Rincer. Sécher.
Faire un massage pour prévention d’escarres avec la pommade du service. Ne jamais masser avec les gants.

 Transmissions

Transmissions orales à l’infirmier (ère) et écrite sur le dossier de soin
Soin.
Selles (quantité, aspect, couleur, rougeur).
Urines (qualité, couleur, odeur).

mercredi 23 mars 2011

Tahar Touam: Le parcours étonnant d’un prodige algérien

Tahar Touam
 
Tahar Touam est un brillant physicien, bourré de diplômes acquis dans les grandes écoles et universités nord-américaines dont la prestigieuse École Polytechnique de Montréal. À l’exception de son pays, c’est un chercheur connu à travers le monde qui a été à l’origine d’une découverte importante dans le domaine de la photonique qui a abouti à la création d’une entreprise de pointe qui s’est effondrée dix-huit mois après son départ. C’est difficile et compliqué à la fois de revivre un jour l’expérience de Tahar Touam. Un parcours impressionnant qui n’a laissé personne indifférent autour de lui. De Annaba à Montréal, l’Algérien s’est distingué dans tous les établissements scolaires qu’il a fréquentés depuis la première année. Déjà au primaire, à l’école Didouche Mourad, ces professeurs remarquent ces bons résultats. Son niveau lui permet de passer directement de la 4e à la 6e où aux examens de fin d’année, il obtient la meilleure note à l’échelle de la ville de Annaba. Au lycée technique, il reçoit le prix d’excellence remis annuellement au meilleur élève. Tout le monde lui prédit une brillante carrière. Jeune, il rêve d’atteindre les sommets. Son voeu se réalise en Amérique du Nord. Il obtient son Ph.D du centre d’optique photonique et laser affilié à l’Université de Laval. L’Algérien est arrivé au Canada en 1986 avec un DES en physique. À Ottawa, il rencontre un accueil chaleureux de la communauté arabe. Les premiers jours, il fait connaissance de Adnan El-Khatib, un Irakien qui l’héberge pendant un mois chez lui, le temps de trouver un appartement. L’Irakien est tellement sympa et gentil avec Tahar que ce dernier lui promet de donner à son premier enfant le prénom Adnan.

Après un bref séjour à l’institut des langues anglaises d’Ottawa, il entre à l’université McGill, à Montréal, où il s’inscrit à l’institut de physique, option quantique. Sa recherche s’oriente vers les composants critiques dans les transitions des phases dynamiques. À la fin de l’année, il est major de promotion avec une moyenne au-dessus des autres qui lui permet d’obtenir le prix d’excellence. En 1987, il est remarqué par le professeur Michel Bélanger qui a réuni tout un dossier sur lui. Ce dernier va se rendre à l’Université McGill pour rencontrer Tahar Touam. Au cours de l’entretien il lui dit : « qu’est ce que tu fais ici, viens travailler avec nous à l’École Polytechnique, je financerai tous tes travaux et recherches ». Le professeur canadien qui l’avait repéré parmi les meilleurs n’avait pas tort, au bout d’une année, le prodige de Annaba obtient un diplôme honorifique de l’École Polytechnique pour sa contribution à la recherche, son apport à l’enseignement et à la visibilité de l’école. Son travail a été choisi par « The International Society of Optical Engineering », comme la meilleure recherche de l’année en télécommunication. Commence alors pour lui une brillante carrière à Montréal. Il va faire partie des différents groupes de recherche qui vont révolutionner la photonique. Tahar Touam, est jeune et l’avenir est devant lui. Ses connaissances en sciences exactes sont la clef de sa réussite. Il connaît beaucoup de choses. Sa présence en Amérique du Nord coïncide avec l’émergence des nouvelles technologies qui vont bouleverser le monde, à la veille du millénaire. Au lieu de 3 ans, il achève la maîtrise science appliquée option optique et laser en 14 mois et fait 5 publications liées à ces recherches scientifiques. L’avantage qu’il a sur les autres : le sens de l’initiative et la maîtrise de plusieurs domaines à la fois : la physique des solides, l’optoélectrique, l’informatique, les mathématiques, la chimie physique, la programmation des méthodes numériques et surtout la conception de logiciels en photonique. Son apport dans la transformation du matériau Sol Gel a été capital en 1998. À l’annonce de la découverte, de Chicago, M. Tony Morreti, vice-président de la multinationale Molex Inc, s’est déplacé en personne à Montréal pour assister à la démonstration. C’est l’avenir du groupe qui se joue devant les spécialistes, les cadres et les bailleurs de fond qui accompagnent l’Américain. Ils ne seront pas épargnés, les questions fusent de toutes parts, les spécialistes ne se gênent pas de l’interpeller sur tous les aspects de l’invention. Du Japon, de l’Europe, de l’Australie et de l’Amérique, plusieurs groupes sont sur le coup. Après huit mois de recherche, Tahar Touam et ses collaborateurs mettent au monde une puce révolutionnaire qui, pour la première fois, est réalisée sur le matériau Sol gel. La découverte va leur rapporter 15 millions de dollars dont 5 millions de Molex inc. Avant de verser l’argent, Tony Morreti, prend l’Algérien à part et lui fait une proposition intéressante. Il l’invite à venir s’installer à Chicago, « tu auras tout ce que tu veux pour monter une compagnie ». Tahar demande à réfléchir, même s’il a les clefs de la découverte, le succès il l’a connu avec ces deux collègues. Les trois se connaissent depuis 10 ans, le premier, S. Iraj Najafi est d’origine iranienne et le Canadien Mark P. Andrews. D’autres investisseurs vont verser d’énormes
sommes. L’argent va permettre au groupe de monter Lumenon Innovative Lightwave Technology, Inc, qui est une société de développement et de conception des composants optiques et des dispositifs en forme de circuits hybrides compacts de verre sur des chips de silicium pour des fournisseurs d’équipement dans les télécommunications, des transmissions de données et des marchés câblodistributeurs. Elles permettent aux sociétés de télécommunication d’augmenter la capacité du transit de leurs réseaux optiques.

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